Critiques & Honneurs
Critiques et entrevues en anglais se trouve ici.
Prix & Nominations
Photo © 2020 Charles Bélisle
Prix des libraires du Québec, BD Jeunesse Québec – Gagnant 2020 – 13e Avenue
Festival International de la BD Angoulême, Prix des collèges – Seléction 2020 – 13e Avenue
Prix Littéraire du Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean Jeunesse – Gagnant 2019 – 13e Avenue
Joe Shuster Awards, Dragon Award (Comics for Kids) – Nominee 2019 – 13e Avenue
Prix Bédélys Jeunesse – Nominee 2018 – 13e Avenue
Prix BD Salon du Livre Trois Rivières – Mention Spéciale Jeunesse 2018 – 13e Avenue
Prix Bédéis Causa, Grand prix de la ville de Québec – Nominee 2018 – 13e Avenue
Prix Des Libraries Québec, BD Québec – Nominee 2017 – Titan
Prix Bédélys Québec – Nominee 2017 – Titan
Prix Bédéis Causa, Prix Réal-Fillion – Nominee 2017 – Titan
Prix BD des Colégiens – Nominee 2017 – Titan
Prix Aurora-Boréal – Nominee 2017 – Titan
Prix Joe Shuster “Best Cartoonist” – Nominee 2018
Society of Illustrators Cartoon & Comic Art Annual 2016
Entrevues & Articles
Photo © 2018 Alain Roberge / La Presse
—Entrevue avec Jean-Dominic Leduc
—Entrevue La nouvelle école des surdoués (2021)
“…Avec un arrière-fond du science-fiction… il y a comme un distance narratif, et pour moi, ça c’est comme un genre de libération.”
—Table Ronde avec Enki Bilal, Cab, et Jean-Dominic Leduc, Vous-avez dit BD? (2019)
“À la lecture de son album TITAN, on s’étonne qu’il s’agisse d’une première œuvre, vu la profondeur du scénario, la maturité du propos.”
—Jean Siag, “Un Amèricain à Montréal,” La Presse+ (2018)
Titan (Français)
“Grève, indifférence des élites, graphisme enragé et coup sur la gueule, tout est là pour donner corps à une aventure dans la pure tradition de la bande dessinée de genre indépendante…”
★★★
“Le sexe s’invite au milieu de la violence, et l’amour des corps se mêle à celui de l’esprit. Les deux cent pages se lisent avec avidité et grand plaisir. Un must de BD alternative, rien que ça, que l’on rangera aux côtés des plus grands.”
“L’auteur dresse la situation avec assez de complexité, d’humanité et de réalisme pour que le lecteur ne sache pas trop où placer son allégeance, les idéaux et les moyens pris pour les atteindre étant conflictuels.”
—Rose Normandin, Les Mésconnus
“La justesse des dialogues, la souplesse de son trait et la sensualité qui s’en dégage assouplissent un genre hélas trop souvent guindé. De l’admirable sci-fi comme il s’en fait trop peu.”
—Jean-Dominic Leduc, Les Librairies
Plus des critiques de TITAN“Le graphisme de François Vigneault est formidable.” ★★★★
“Cette bonne BD SF rappelle un peu dans la forme, un bon vieux film des années 70.”
—Louis Poulain, L’Alphabet Librarie
“Une magnifique histoire d’amour sur fond d’exploration spatiale et de syndicalisme extrêmement bien servi par un dessin dynamique et accrocheur.”
—Mathieu Tremblay, Pretnumerique.ca
“Le style simple et légèrement cartoonesque de Vigneault sied curieusement très bien à un scénario davantage sérieux justement grâce à ce judicieux jeu d’ombres violacées.”
“Ce livre au dessin rond, joliment réalisé par une jeune maison d’édition canadienne, n’a toutefois pas la prétention d’un manifeste et reste un divertissement avide d’action et de rebondissements.”
“Le premier album de ce bédéiste américain aux origines québécoises n’est pas passé inaperçu… Un délice.”
“Une BD québécoise de science-fiction qui vaut le détour!”
“Une histoire de science-fiction qui pourrait facilement se transposer à certaines réalités actuelles et aussi l’histoire de deux êtres que tout éloigne, mais qui se rejoindront dans cette histoire. À lire absolument!”
—Shannon Desbiens, Les libraries
“Le propos est ambitieux et le scénariste, qui signe ici sa première œuvre, tire très bien son épingle du jeu.”
“Relations interraciales, amour, trahison, loyauté et justice sont à l’honneur dans cette oeuvre.”
“Une lecture haute en couleur, avec des dessins originaux et du sexe inter-racial prometteur, TITAN vous transportera dans un monde dystopique aux confins de l’espace.”
—Audrey Mayer, Audrey is Binge Reading
Vigneault… revisite l’héritage d’Ursula K. Le Guin… [il] présente les corps sans les idéaliser et développe une réflexion ouverte et inclusive sur les tensions raciales et les rapports de force de personnages marginalisés…”
—Virginie Fournier, Lettres Québécoises, No. 179
“La relation intime entre le « terrien » et « l’extraterrestre » a été exploitée mille fois, autant dans des séries télé comme Star Trek que dans les bandes dessinées de Bilal. Ce qui sauve la mise chez Vigneault, c’est la force du personnage féminin qu’il a créé.”
—François Cloutier, Lettres Québécoises, No. 167
“Planant, poignant, magnifiquement mis en image.”
—Jean-Dominic Leduc, Multitaches
“Je me suis rapidement laissée emporter dans cette histoire pleine d’action et de rebondissements.”
13e Avenue
“L’album jouit d’un habile équilibre entre la prose, d’une touchante retenue, et du découpage séquentiel, magnifique et généreux. Cette première collaboration est un pur délice et prouve, si besoin il en est, que la bande dessinée est un médium capable d’aborder l’intime en visant l’universel, tout en s’adressant avec une vive pertinence à un vaste lectorat.”
—Jean-Dominic Leduc, Les Libraires
“Avec le concours du trait intemporel de François Vigneault («Titan»), «13e Avenue» a aussi la grâce de dépeindre la vie des jeunes d’aujourd’hui.”
★★★
“…De grandes cases au trait rond et expressif, avec un astucieux jeu de nuances de gris qui met en valeur les éléments de décor signifiants.”
★★★★
“…Ses personnages sont tout en finesse, son trait est gras, il respire. Les cadrages qu’il utilise sont simplement magnifiques…”
—François Cloutier, Lettres Québécoises, No. 173
Plus des critiques de 13e Avenue“…Vigneault a le trait précis et partage avec l’auteure l’intérêt
pour ces détails qui renforcent le réalisme … Sa maitrise du clair-obscur est exemplaire et son découpage en plans est judicieux, souvent audacieux… “
“…le texte, concis et direct, s’appuie sur de grandes cases en noir et blanc qui incluent un original jeu de gris pour valoriser les ombres. Les traits des personnages, bien contemporains, collent à ce qu’ils veulent dire d’eux-mêmes.”
“Une série de bandes dessinées très réaliste, dont le rythme lent permet de saisir avec justesse les sentiments d’un garçon bousculé par les changements dans sa vie suite au décès de son père.”
—Bibliothèques de Mont-Laurier
“Ce deuxième contact avec l’œuvre aura tôt fait de faire fondre mes résistances : je découvre un visuel touchant, sobre, mais tout en nuances.”
“La fin?! Comment je vais faire pour attendre le deuxième tome?!“
“J’ai trouvé les dessins très beau.” “On sens l’heritage de Michel Rabagliati.”
—Catherine Trudeau and Monique Polak, Plus on est de fous, plus on lit!
“Un premier volume doux amer avec de magnifiques planches en noir et blanc, toutes en rondeurs, sous le pinceau numérique de François Vigneault…”
—Jean-Claude Attali, Bulle d’Encre
“Une super, super BD. Ne cherchez plus si vous ne savez pas quoi mettre dans le bas de Noël de votre enfant.”
—Catherine Proulx-Lemay et Ludovic, Culture Club Radio Canada
“Avec ses illustrations en noir et blanc, ses cases claires et expressives, François Vigneault a créé un visuel parfait pour le public cible, les lecteurs de 10 ans et plus.”
“Un trait assez caractéristique de la BD canadienne, bien posé et précis dans les nuances, un récit parfaitement articulé dont on suit, sans s’en douter, la montée en puissance.”
—Jean-Laurent Truc, Ligne Claire
“Les illustrations de François Vigneault sont magnifique.”
“Un trait simple, des contours extrêmement présents, des décors qui prennent peu de place. Et l’utilisation, surprenante dans un premier temps, envoûtante ensuite, du « flou » pour certaines scènes, ou pour certains détails graphiques.”
—Jacques Schraûwen, BD Chroniques
“Un bon album sur le deuil et le passage à l’adolescence, teinté de fantastique, servi par un dessin expressif et du québecois pur, totalement dépaysant.”
—La Cité internationale de la bande dessinée et de l’image
“Un rythme transcendant où l’on ne s’ennuie pas un seul instant.”
—Culturevsnews, 9.5/10
“Dans un style rond aux lignes épaisses et expressives, François Vigneault joue avec malice des nuances de gris pour mettre en valeur tel ou tel élément, créant un petit univers curieux, entre réalisme et fantastique.”
“Un bel album sur l’adolescence, sur l’absence, empli d’un mystère qui flirte avec le fantastique.”
“Un excellent roman graphique qui célèbre l’amitié, l’amour, le deuil et la résilience.”
—Lauriane Angers-Gauthier, Librairie Drawn & Quarterly, Best Graphic YA of 2018
“Les personnages, tout en rondeurs, ressortent sur des décors plus grisés, réalisés à la palette graphique.”
“Un roman graphique sympathique qui dépeint une vie de quartier dynamique autant que le désarroi d’un ado qui se jette dans l’inconnu et qui tente de se reconstruire.”
—Chantal Fontaine,Les Libraires
“J’ai lu avec délice… Très, très bien fait.”
—Evelyne Charuest, Gravel le Matin Radio Canada
“L’illustration de François Vigneault est très conviviale, et le récit de Geneviève Pettersen est très emballant; on veut connaître la suite!”
—Claude Gauthier, En Lettres Attachées
“Ce premier tome est savoureux, grâce à une plume parfois caustique et à un trait de dessin bien affirmé.”
“Le talent de raconteuse de Pettersen est indéniable, tout comme celui de Vigneault pour les illustrations réalistes du quartier, qui nous placent instantanément dans le bain.”
“Une belle recommendation.”
—Raymond Poirier, Québec, Réveille!
“Rien à dire par contre sur le travail d’illustration en noir et blanc du bédéiste François Vigneault (Titan) dont l’aspect épuré, voire naïf, du trait correspond parfaitement avec le propos.”
—Éric Moreault, Le Soleil (SPOILERS)
“Un livre sur le deuil, doublé d’une intrigue accrocheuse. Une BD d’abord destinée aux adolescents, mais qui peut charmer tous les publics.”
—Benoit Valois-Nadeau, Metro Montréal
“Des auteurs… avaient vraiment investi la sensibilité que peut avoir un enfant en pareille circonstance.”
“Une bien belle bande dessinée : un dessin assez simple, que ne renierait pas Riad Sattouf, mais très expressif…”